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mardi 2 avril 2013

Lumière...


Le ciel est tombé sur les épaules de Gilgamesh comme un rideau de poussière. Cette nuit les étoiles se sont macérées jusqu'au bout des rêves, là où commence la peur de ne pas être délivré aux aubes, de ne pas être heureux avant la naissance, avant le cri de surprise dans son pur état. Gilgamesh n'a q'un seul oeil ouvert et sa paupière clignote pour l'effervescence de l'attente des marins, partis à la recherche d'un nouveau continent, dans des bateaux en bois, baptisés du nom des jolies sirènes, oubliées dans leurs larmes domestiques sur les quais du hasard. Ailleurs, leur bonjour défile sous ma fenêtre, dans la promesse du royaume convertibles en moments de bonheur.

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