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lundi 4 octobre 2010

les couleurs de la sujectivité

Ce matin,l'escalier du metro était plus lente que l'autre fois. Mes pas  d'habitude raisonables comme longueur sont faits, maintenant, de sable,car le clepsidre que j'avais brisé hier soir me demandait un présent infortunable de pluie et de nuages. Les mains dans mes poches, j'ai descendu l'escalier et j'ai parpillé aux bout des doigts le permis en plastique de mes voyages urbains. Et tout le monde me souriait du coin de la bouche en heurtand la tête  vers les tenebres froides de la station Altitude 100.Oui...je pourrais dire que la vie était à ce moment semblable aux passants pressés et que rien de ce qui est périsable dans le quottidien ne faisait de moi son ésclave.Un voix d'homme pendu entre mes oreiiles et le cerveau civilisé des autres m'annoncait que la ligne Simonis se coupe à Rogier en trois et je me disais alors que seulement une vie peut accepter un tel metaphore, seulement pour ce qui ne savent pas le sens impitoyable de leur rendez-vous avec les opportunites blanches ou gris. Ravisant,n'est pas? Le metro devient mon point de retour contre le miroir magnifique, qui cache l'abîme, gonflé des insipides questions d'idéntité.Ouais....j'ai dis et j'ai été avaler d'une bouche salivant et chaude.Il était une fois la vie des autres dépourvues du code de la route. C'est moi l'ignorant, le maximo.....

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