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dimanche 3 octobre 2010

l’ addition

On s’habitue a bien attacher un “plus”
Avant toutes les choses qui ne sont pas compréhensibles.
Si on assiste, dans le centre-ville,
a la Parade des Noms,
portant le masque d’un grand et beau idéal grec sur le visage,
on declanche le carnaval de la sémantique,
sans dictionnaire,
sans folie.
Ainsi fait,
Les épithetes les plus propres
peuvent compter justement
sur le manque de sincérité
dans la poésie qui s’arroge, de plus en plus,
un“plus”.

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