Lettres à Ms. Raffin 2 ème

Cher ami, ma letrre se bâtie cette fois ci sur la question de la beauté dans l’optique de l’enfance.On dit que chacun d’entre nous fait de cette époque un réservoir sacre de ressources, et se remarque par la puissance de convaincre notre esprit d’un besoin d’être beau devant les autres, devant Dieu et même devant nous même. Bien sur, on parle de l’enfance au passe mais ça fait de cette image la force de la reflexivite.Parfois est-il nécessaire de me dire en chuchotant que nous sommes encore des enfants et que notre image renversée est celle d’un petit enfant qui mange une pomme a cote d’une route avec des passants invisible. Je veux dire que la beauté de l’enfance est celle de regarder et de connaître. Je me rappelle mes vacances a la campagne, pendant les soirées moldaves ou je regardais les paysans, qui,dans leur simplicité épuisée a la fin d’un jour de travail, me regardait et me disaient des yeux que je suis infinement plus heureux a cause de la manque des responsabilités. J’étais tout petit et j’aimais bien regarder le soleil couchant parmi les nouages dans un silence profond et calme. Aucun bruit ne pouvait me détourner de mes échos rigolages envers ce monde. J’avais la puissance de contrôler la finalité de chaque sens car je communiquais à l’aide des images. Simple et sans faute ! Est-ce que nous pouvons faire ça à l’age mur ? Je crois que oui, a condition d’être sincère et de reconnaître que nous sommes pris dans le piège du quotidien ! En revenant a l’image de mon enfance je me rends compte que la beauté était plus proche de mes perception qu’aujourd’hui car la vitesse de comprendre les choses était plus lente et réduite a quelques détails : la lumière, l’été et les paroles de ma grand-mère. Parfois, le monde, dans mon horizon d’attente était décompose en morceaux de certitude car j’étais, enfin, en mesure de comprendre. Quoi pourrait emprunter le sens de la beauté ? C’était probablement la conviction que j’étais au commencement de ma vie, qu’il y a beaucoup de choses qui devraient se passer dans un futur proche ou éloigne ? Je ne peux pas répondre ici, mêle dans mes 33 années, donc 33 stars passes chaque fois differemment.J’aime penser que la beauté de l’enfance était inconsciente mais tangible comme un rayon de soleil sur la peau.Au fur et au mesure que les années passaient les « certitudes simples » commençaient se reconvertir en souvenirs et m’ont fourni une autre miroir de la beauté, plus théorique et plus glacée. J’ai encore la peur de ne pas faire de mon enfance la beauté d’un livre car c’est plus personnel de parler de choses destinées d’être senties faces à la communication insipide. Alors, je me suis habitue a ne pas penser a moi et de considérer la beauté comme un cadeau a offrir dans la fête de l’existence parmi les idées. C’est comme dans l’histoire avec la petite fille, qui m’a donne une goutte de sincérité et d’espoir. Voici l’histoire !